Si à l’échelle nationale, le réseau Guy Hoquet l’Immobilier enregistre une baisse moyenne des prix de 1,7% sur 2014, les divergences se creusent avec des écarts de prix qui dépassent 6 000€/m² entre Paris et les villes de moins de 20 000 habitants, un écart qui a doublé en cinq ans.
Illustration zone par zone :
- Paris affiche une très légère baisse de ses prix de 0,8% sur un an, et deux marchés s’y distinguent : celui des biens sans défaut dont les prix restent élevés, et celui des biens avec défaut qui font l’objet de fortes négociations
- La petite couronne corrige ses excès et voit des acquéreurs plus frileux mais maintient son niveau d’activité
- Dans les villes dynamiques, la demande reste forte et les centres villes reproduisent le phénomène parisien avec des biens à défaut qui pâtissent de délais de vente plus longs.
- Les villes de moins de 20 000 habitants et les zones peu tendues enregistrent une baisse de prix plus importantes (-2,5% en moyenne)
- Les zones rurales, où la moyenne des prix de vente enregistrés en 2014 montre une baisse globale de 2,5%, sur le terrain, certains biens font l’objet de négociations faisant baisser les prix jusqu’à 20% parfois.
Plus d’informations : http://www.guy-hoquet.com/
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