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Les professionnels de l’immobilier face à la loi ALUR…

… fil rouge du Congrès de l’Immobilier FNAIM 2014, qui se tiendra les lundi 8 et mardi 9 décembre prochains au Palais des Congrès de la Porte Maillot à Paris. Il accueillera tous les professionnels de l’immobilier et acteurs du logement : agents, marchands de biens, gestionnaires, diagnostiqueurs, experts, syndics, spécialistes de la location saisonnière, etc.

Deux sessions de formations spécifiques loi ALUR sont programmées lors du Congrès le lundi 8 décembre :

- 13h / 13h45 : Loi ALUR, syndic et gestion
- 17h30 / 18h30 : Loi ALUR, transaction

Inscription aux sessions animées par les formateurs de l’Ecole Supérieur de l’Immobilier (nombre de places limitées) :
01 44 20 77 83 ou réserver sur fcontinue@fnaim.fr 

 

La participation aux cessions est possible après inscription au Congrès sur www.congresdelimmobilierfnaim2014.com. Un certificat de formation sera remis aux participants.


La loi ALUR va entraîner de profonds bouleversements pour les professionnels encore dans l’attente de nombreux décrets d’application. C'est pourquoi la FNAIM a déployé un vaste plan d’information et de formation ouvert aux professionnels et à leurs collaborateurs. Plus de 7 000 personnes ont participé à ces journées partout en France. « Nous nous félicitons que le projet ait intégré de nombreuses propositions de la Fédération qui a su être le relais des réseaux, des groupes et de milliers de professionnels, explique Jean-François Buet, président de FNAIM. S’il avait été adopté tel quel, il aurait balayé des milliers d’entreprises et d’emplois. La concertation qui a duré plus de 18 mois, a eu la vertu de rassembler très largement la profession derrière des propositions de notre Fédération. »

Sont ainsi désormais inscrites dans la loi : l’obligation de formation pour toute personne titulaire ou non de la carte professionnelle mais exerçant une activité liée à l’immobilier, l’instauration du Conseil national de la gestion et de la transaction immobilières, la création de la Carte G pour les syndics, ou encore le maintien du mandat exclusif...
« Nous ne considérons pas que notre action de simplification de la loi est terminée, poursuit Jean-François Buet. Une plus grande lisibilité de la réglementation est absolument nécessaire au rétablissement de la confiance sur un marché durement éprouvé par la crise. Rappelons que les professionnels assurent 40% des locations, 60% des transactions immobilières et 90% des gestions de copropriétés. Les pouvoirs publics ont compris qu’il était indispensable de travailler avec les professionnels de terrain pour améliorer le système dans son ensemble».

 

 

 

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