Deloitte et Harvest publient une étude sur l'Analyse du comportement des CGPI dans leur choix de partenaires et leur conseil en allocation.
Le métier de conseiller en gestion de patrimoine, apparu dans les années 1970, s'est considérablement développé et professionnalisé et concentre aujourd'hui une part de marché de 7 à 9% de l'épargne en France.
Au-delà des évolutions de la réglementation du métier de CGPI ou de leur mode de rémunération, l'étude s'intéresse à la fois à l'indépendance des conseillers vis-à-vis de leurs fournisseurs et à la qualité de leurs conseils, et cherche à qualifier, analyser les choix des CGPI en termes d'allocation d'actifs et dresse un panorama des évolutions de leur business model.
Principaux enseignements de l'étude :
- Relation entre le CGPI et son client de plus en plus sous pression réglementaire.
- L’impact de MIF 2 sur la rémunération des CGPI devrait être limité.
- Modèle de distribution basé sur une architecture que l’on peut qualifier d’ « orientée » plutôt que « pleine ouverte ».
- Forte concentration des sociétés de gestion sur le marché des CGPI avec une sous-représentation des sociétés de gestion étrangères.
- Les 6 premières sociétés de gestion représentent plus de 50% de l’encours total investi en OPCVM par les CGPI de l’échantillon en 2013.
- Les CGPI privilégient l’allocation stratégique à l’allocation tactique.
- Ils proposent l’enveloppe fiscale la mieux adaptée aux besoins des clients et font confiance aux spécialistes pour réaliser l’allocation d’actifs.
- Le Business model qui doit évoluer face aux enjeux d’origines diverses : rotation des actifs, nouvelle concurrence, risque réglementaire et risque économique.
Plus d’informations auprès de Pascal Koenig, Associé Industrie Financière responsable AM chez Deloitte www.deloitte.com
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