Le Viager*, une stratégie patrimoniale adaptée également à l’immobilier de prestige
Si l’immobilier est un investissement, le viager apparait désormais comme une véritable stratégie patrimoniale. En tant que spécialiste des biens de prestige, Barnes apporte son savoir-faire et sa signature élégante dans ce segment de marché pour satisfaire les demandes de sa clientèle avisée et exigeante.
Des avantages patrimoniaux et fiscaux pour le vendeur
Avec le bouquet, le vendeur dispose immédiatement d’une somme d’argent qu’il peut utiliser à sa convenance. Le bouquet peut également servir à payer l’impôt sur la plus-value éventuelle si le bien n’est pas la résidence principale du vendeur.
La rente mensuelle est indexée (sur l’indice des prix à la consommation, par exemple) et fait l’objet d’une révision annuelle, ce qui préserve le pouvoir d’achat du crédirentier. La rente est imposable sur le revenu, mais en partie seulement. Si le vendeur est âgé de plus de 70 ans au jour de la vente, seuls 30% de la rente sont imposables (et assujettis aux prélèvements sociaux au taux actuel de 15,5%).
Autre avantage, si le crédirentier est redevable de l’ISF, ce n’est plus la valeur en pleine propriété du bien qui entre dans l’assiette de calcul de cet impôt, mais la valeur en capital de la rente viagère. Plus il avance en âge et plus cette valeur diminue.
Un placement attractif également pour l’acquéreur
Le viager occupé est l’opportunité, pour le débirentier, de se constituer un patrimoine avec un important rabais sur le prix et un paiement échelonné dans le temps. Certes, il existe un aléa sur la durée de vie du crédirentier, élément fondamental de la validité même du contrat de viager. Mais il lui est possible de souscrire une assurance couvrant le risque de sur-longévité du vendeur.
Le viager libre ouvre d’autres perspectives à l’acquéreur. Il peut en faire son logement ou bien le mettre en location et percevoir des loyers. Il disposera ainsi d’un complément de ressources pour payer la rente (celle-ci n’étant toutefois pas fiscalement déductible des revenus fonciers).
*Il existe deux types de viager :
Le viager occupé. Le vendeur (crédirentier) continue d’habiter le logement. Le prix de vente correspond alors à la valeur du bien dont est déduit le montant estimé du droit d’usage et d’occupation. Celui-ci est fonction de l’âge du crédirentier au moment de la vente.
Le viager libre. Le crédirentier ne conserve pas l’usage du bien, qu’il cède intégralement à l’acquéreur (crédirentier). Le prix de vente correspond alors à la valeur entière du bien, comme dans une vente classique. Il est payé sous forme de bouquet et/ou de rente viagère.
Expertises viager Barnes www.barnes-international.com
Comprendre l'économie durable pour s'y investir