Connexion
/ Inscription
Mon espace
Culture & Société
ABONNÉS
Partager par Linked-In
Partager par Xing
Partager par Facebook
Partager par email
Suivez-nous sur feedly

CFA Institute appelle à une plus grande transparence sur les structures des commissions et rétrocessions

Le caractère inadapté des structures de rémunérations des distributeurs, biaisées en faveur du volume des ventes ou de produits spécifiques, représente la principale cause de ventes abusives pour 70% des personnes interrogées.

Via l’étude Restriction des commissions et rétrocessions, les membres de CFA Institute proposent trois solutions visant à réduire le risque de ventes abusives (d’une transparence accrue à l’interdiction totale des primes à la vente) :
- Introduire des normes précises de présentation des frais aux investisseurs
- Revoir les structures des commissions pour supprimer celles qui sont liées au volume des ventes (commissions progressives)
- Établir des taux de commissionnement uniformes (en % des frais de gestion) pour tous les produits d’une même catégorie

Par ailleurs, sur les marchés où la décision d’interdire les commissions et rétrocessions a été prise, on craint qu’une telle action ne polarise le monde des investisseurs, avec d’un côté ceux qui peuvent se permettre de payer pour obtenir des conseils et de l’autre tous ceux qui ne le peuvent pas ou qui ne sont pas prêts à s’offrir un tel service.

Selon 46% des personnes ayant participé à l’étude, le risque majeur de l’interdiction des commissions est que les distributeurs continuent à offrir des conseils, mais seulement sur les produits pour lesquels ils continuent de percevoir des commissions, à savoir les produits de leur groupe, sur la base d’un conseil non indépendant.

Accéder à l’étude : www.cfapubs.org/toc/ccb/2013/2013/15



 Comprendre l'économie durable pour s'y investir

 

Lire la suite...


Articles en relation