Les enseignements de cette enquête* :
- Environ 80% des salariés interrogés trouvent que les offres d’actionnariat salarié sont adaptées selon les différents pays.
- Le fait que l’offre en actionnariat salarié soit libellée en euros n’a pas d’incidence sur la décision de souscrire pour 60%. Il constitue même un facteur motivant pour les salariés domiciliés en Amérique Latine, en Afrique ou au Japon.
- Les salariés à l’international ont désigné l’abondement comme étant l’avantage le plus incitatif à la souscription à hauteur de 50%. La décote se place en deuxième position (29%). Néanmoins, les salariés considèrent la fiscalité locale comme étant le principal inconvénient à la souscription (37%) notamment en Europe.
- Lorsqu’ils ont le choix - et notamment grâce à la mise en place d’un FCPE pour la gestion de leurs avoirs - la majorité des salariés préfèrent capitaliser leurs dividendes et augmenter ainsi la valeur de leurs avoirs détenus dans le FCPE.
- Malgré l’éloignement géographique avec la maison mère, la quasi-totalité de salariés à l’international consulte de temps en temps le cours de l’action de son entreprise.
*Enquête réalisée auprès de 63 000 salariés domiciliés à l’international. Objectif de l’enquête : comprendre leurs attentes et leurs éventuelles appréhensions vis-à-vis des offres d’actionnariat salarié initiées par les entreprises françaises. Interrogés par courrier électronique entre le 6 et 24 janvier 2014, plus de 10 000 salariés (sur les 63 000 interrogés) des entreprises clientes dans plus de 100 pays ont répondu aux questions.
Comprendre l'économie durable pour s'y investir