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Patriotisme économique : les riches en première ligne pour sauver la France

Selon la dernière étude réalisée par l’IFOP pour Prêt d‘Union et le magazine Challenges, les riches estiment être prêts à prendre leurs responsabilités vis-à-vis de la France et de l’économie française :

-  82% des Français aisés estiment que le premier devoir des riches est de payer leurs impôts en France.
72% sont prêts à soutenir la création et le maintien de l’emploi en France.
65% sont favorables au financement des jeunes entreprises.
47% des Français aisés considèrent qu’ils doivent s’impliquer dans des dispositifs de finance participative.
8% envisagent réellement de quitter la France pour raisons fiscales.

 « Ces résultats vont à l’encontre de ce que l’on entend partout sur les comportements de nos concitoyens les plus aisés : loin de se désolidariser en quittant la France, ils affirment leur attachement et pensent que l’aisance dont ils jouissent leur confère des devoirs supplémentaires, tant sur le plan économique que social », souligne Charles Egly, Président du directoire et co-fondateur de Prêt d’Union. « Nous vérifions tous les jours dans notre activité que les Français aisés sont de plus en plus nombreux à vouloir investir dans l’économie réelle sous des formes plus innovantes et participatives, tels que le crédit entre particuliers en faveur des ménages ou des entrepreneurs. »

27% des Français aisés, et 47% des catégories socioprofessionnelles supérieures, pensent en effet qu’il incombe aux plus riches de s’impliquer dans des dispositifs de finance participative tels que le crowdfunding et le crédit entre particuliers.

Mais qui sont ces « riches » ?
Les Français assujettis à l’ISF considèrent qu’un foyer est « riche » à partir d’un revenu net moyen de 16 964 € par mois. L’appréciation varie sensiblement en fonction du sexe des répondants : les femmes placent le seuil de la richesse à 12 998 € nets/mois et les hommes à 20 626 €. De même, les cadres supérieurs et professions libérales fixent le seuil de richesse à un niveau presque deux fois plus élevé que les retraités (31 054 € contre 16 647 €). Seul 5% des Français aisés placent le seuil de la richesse au-delà de 50 000 € de revenu mensuel net.

Pourquoi, selon les riches, les Français ne les aiment-ils pas ?
Pour 84% des personnes  interrogées, assujetties à l’ISF, les Français nourrissent des sentiments négatifs à l’égard des plus aisés et 73% d’entre elles estiment que les « riches » suscitent la jalousie de leurs compatriotes. 43% évoquent un sentiment de méfiance, et 19% mentionnent même de la colère.
Cette perception négative peut aussi être rapprochée du manque d’exemplarité que 82% des Français reprochent aux riches, opinion que les Français aisés ne sont que 45% à partager.

Résultats complets de l’étude : pret-dunion.fr/Affiliation/images/page_presse/6_etudeIFOP2013.pdf

Prêt d’Union, jeune entreprise innovante, fondée en octobre 2009 à Issy-les-Moulineaux, et lancée en octobre 2011, est né d’un constat simple : en France, les taux des crédits à la consommation octroyés par les établissements financiers traditionnels sont élevés (jusque 20% dans le cas des crédits revolving) mais l’épargne collectée par ces mêmes établissements pour les financer est très faiblement rémunérée.
pret-dunion.fr

 

 

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