L’emprunt moyen et la durée restent stables
- Age de l’acquéreur : 31 ans, 1 enfant.
- Emprunt : 146 816 € avec un apport de 24 598 €
- Montant moyen des acquisitions : 142 341
- Durée du prêt : 244 mois, soit 20,3 années
- Revenu moyen mensuel net : 2 056 €
- 38% des familles accompagnées ont un crédit à la consommation depuis le 1er janvier 2013 (Vs 40% en 2012). La durée moyenne du crédit restant à rembourser est de 60 mois (Vs. 50 en 2012), le remboursement mensuel s’élève à 299 € (Vs 308 € en 2012)
- La durée des prêts personnels a été rallongée de 20% depuis le 1er janvier 2013.
Primo-accédants : ils représentent 73% des familles accompagnées par Immoprêt depuis le 1er janvier 2013
- Age de l’acquéreur : 32 ans, 1 enfant.
- Emprunt : 141 330 € avec un apport de 21 214 €
- Montant moyen de l’acquisition : 134 512 €
- Durée du prêt : 258 mois, soit 21,5 années
- Revenu moyen mensuel net : 2028 €
Les primo-accédants n’échappent pas à la tendance générale : emprunt moyen en légère hausse, durées stables et apport personnel moyen en léger repli. Les financements à 110% restent le cas dans plus d’un foyer sur deux en 1ère acquisition.
Evolution des taux d’intérêts
Baisse significative des taux sur l’ensemble des régions françaises permettant des renégociations de crédit : 26% du volume sur le semestre, avec 2 110 dossiers(vs. 5% en 2012 et 611 dossiers). Des taux qui devraient se maintenir à un niveau favorable en 2013, avant uneremontée probable en 2014.
Prix de l’immobilier
Une hausse du prix d’acquisition de 3,3% a été constatée par Immoprêt depuis le 1er janvier 2013 sur le marché global (1ère et 2ème acquisitions confondues). Cette hausse est portée par les produits d’entrée de gamme, à destination des primo-accédants (+3.9%), où la demande est très forte et l’offre rare. A l’inverse,les prix sur le marché de la seconde acquisition confirment leur baisse à -1.2%.
Acheter, oui mais pour quel usage ? La baisse constatée au 1er trimestre sur l’investissement locatif s’érode légèrement : dans un contexte de taux bas, l’investisseur commence de nouveau à regarder l’attrait du marché de la pierre. A défaut d’être attractif, ledispositif Duflotpropose un avantage fiscal et les investisseurs sont contraints de s’en contenter pour le moment.
La part des transactions via les agences immobilières s’effondre, au profit du PAP (Particuliers à Particuliers) à - 3 % dans l’ancien
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