S’il est vrai que les cours ont subi une réelle baisse (-28% depuis son plus haut atteint en 2011), liée à la relative bonne santé du billet vert, il faut savoir que c’est uniquement les investisseurs institutionnels qui ont impacté le marché de l’or avec des volumes importants.
Au Comptoir National de l’Or, selon sondirecteur général, Laurent Schwartz, on ne constate que de rares ventes dans les agences : les gens ne vendent pas, la société observe même une hausse des commandes de 50% ces derniers mois. En cas de menaces inflationnistes, il demeure un actif sûr et fiable. Et dans les situations de crises économiques sérieuses, il reste un bouclier et une valeur refuge de première qualité.
L’Inde ou la Chine l’ont déjà compris et se retrouvent en tête des consommateurs de métal jaune, avec l’enregistrement d’achats massifs d’or physique ces derniers mois, notamment de la part des particuliers. Et dans les pays asiatiques, ce ne sont pas les bonnes occasions qui manquent pour s’approprier un peu plus d’or ; fêtes religieuses, mariages…
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