Pour la société de gestion Midi Capital, la campagne s’annonce bonne . La raison de ce succès anticipé repose à la fois sur le savoir-faire de la société, notamment sur le secteur de la santé, et sur des partenariats solides, nous explique Karine Alet, directrice de la distribution et des partenariats chez Midi Capital.
« Nous anticipons une belle collecte au travers de nos deux offres, le FIP Capital Santé PME II et le Mandat de Gestion Club Deal 2013 (voir page 8). Le FIP Capital Santé PME II est investi dans des entreprises dynamiques du secteur de la santé, un secteur qui présente une croissance pérenne, confortée par l’allongement de la durée de la vie et les progrès des techniques médicales. Le secteur offre par ailleurs une bonne résistance dans les périodes de crise et donne une large place à l’innovation, une source considérable de croissance pour les entreprises. Pour construire le portefeuille, notre équipe cible principalement l’hébergement, les services liés à la santé, les dispositifs médicaux et la santé préventive. Pour mener à bien sa mission, elle est épaulée par un comité consultatif d’experts, composé de professionnels de la santé et de chefs d’entreprises. Parmi ceux-ci, on compte Valérie Delande, ex-membre du directoire du Groupe Pierre Fabre, Loïc Maurel, Vice Président de France Biotech, Richard Borgi, ancien chirurgien et CEO de Coldway, Jean-Paul Micallef, directeur de recherche à l’INSERM ou encore Amr Soubra, fondateur de la société Airox. Avec leur appui, nous investissons sur la zone de prédilection de Midi Capital, à savoir les régions PACA, Aquitaine, Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon. Il s’agit d’une zone riche en pôles universitaires dédiés aux sciences de la vie et donc un vivier important d’entreprises prometteuses. Medtech et France Perfusion sont des exemples de firmes dans lesquelles nous avons investi et qui ont rencontré un franc succès. Côté distribution, il faut reconnaître que le thème d’investissement est particulièrement séduisant et nos partenaires, plateformes et CGPI, trouvent facilement les arguments pour commercialiser ce produit, notamment auprès des représentants des professions médicales ou paramédicales qui constituent une part importante de leur clientèle ».