Pionnier des Groupements Fonciers
Viticoles, Saint Vincent annonce sa labellisation RSE et affirme son ambition :
participer à accélérer la transformation écologique et sociale de la filière
vin et de la finance.
À l’occasion de la
conférence mondiale Sustain 2025, organisée par EcoVadis du 11 au 13 mars à
Paris, Saint Vincent a annoncé sa labellisation par ce cabinet RSE de référence.
Une reconnaissance du
chemin accompli vers un objectif : "faire bouger les lignes dans la
viticulture et dans la finance, deux secteurs aux forts enjeux de
responsabilité sociale et environnementale".
En 2024, les équipes se
sont engagées collectivement dans une démarche RSE ambitieuse, pour améliorer
l’impact environnemental et social des activités, des vignes aux bureaux.
Cela s’est traduit par
des actions concrètes : formation de 100 % des collaborateurs à la RSE,
interviews des parties prenantes (viticulteurs, banquiers, conseillers en
gestion de patrimoine, investisseurs), définition d’un plan d’actions…
Cette démarche a abouti au premier rapport de durabilité de l'entreprise. Celui-ci cible les actions et définit les objectifs : pratiques culturales, achats et consommations, bien-être au travail.
Des partenaires engagés
Le rapport de
durabilité témoigne de réels engagements et attentes de la part des parties prenantes
:
- 100% des vignerons sont à
minima labellisés Haute Valeur Environnementale (HVE) niveau 3.
- 65% des investisseurs
considèrent les pratiques culturales et la vinification comme des critères
importants dans le choix des GFV.
Pour initier sa
démarche RSE, Saint Vincent a suivi la méthodologie de la plateforme RSE
EcoVadis. Un engagement labellisé par le badge « Entreprise engagée ». « Cette reconnaissance
témoigne de notre détermination, salue la présidente de Saint Vincent,
Émilie Bourgeat. Nous avons accompli des petits pas qui nous
permettront d’aller plus loin sur la RSE. »
Pour Émilie Bourgeat,
cet engagement RSE doit permettre à l’entreprise de continuer à grandir, tout
en s’adaptant aux nouvelles réalités du marché viticole – notamment le
changement climatique – et aux attentes des investisseurs.