De nombreuses idées reçues persistent autour de l’affichage dynamique, parfois pointé du doigt quant à son impact environnemental.
Cenareo, MarTech leader du marché de
l’affichage dynamique, convaincu que l’affichage digital peut être plus
responsable et durable, apporte des preuves de son engagement pour un usage
plus sobre et respectueux des ressources. Voici quelques idées reçues sur
l'impact de l'affichage digital, et les actions menées par Cenareo pour faire
la différence.
• Idée reçue n°1 : La
consommation des écrans est un gouffre énergétique !
Si les premières
générations d'écrans étaient effectivement énergivores, la nouvelle technologie
de rétro-éclairage LED a considérablement réduit cette consommation tout en
améliorant leur design et la qualité d’image. Ils ont une durée de vie plus
longue que les moniteurs LCD en raison de leur technologie de rétroéclairage
plus durable. De plus, de nombreuses fonctionnalités - tels les modes ECO -
permettent d'optimiser la luminosité en fonction de l'environnement, réduisant
ainsi la facture énergétique.
Selon un rapport de
l’ADEME sur l’impact du numérique et des panneaux publicitaires, la part des
publicités numériques dans la consommation totale énergétique reste
relativement réduite. À titre d’exemple, les 1400 écrans actifs du métro
parisien représentent 1% des émissions liées au trafic, une part limitée en
comparaison des besoins globaux du réseau.
Le plus Cenareo : Cenareo suit et
optimise en temps réel la consommation énergétique de chaque écran depuis la
plateforme. En sélectionnant une flotte d’écrans conformes à des normes de
qualité élevées et à des contenus diffusés de manière optimisée, Cenareo aide
ses clients à concilier performance d’affichage et réduction de l’impact
environnemental. Le système de gestion de contenu dédié à l’affichage dynamique
Cenareo permet de piloter de façon plus raisonnée son parc d’écrans, dans une
logique de meilleure utilisation de nos ressources. À ce titre, la solution
Cenareo peut être couplée avec le service EcoWatt* très facilement grâce à son
API publique.
• Idée reçue n°2 : Les écrans restent allumés toute la nuit pour
rien
En premier lieu, depuis
2022, la législation française impose l'extinction des enseignes lumineuses
entre 1 h et 6 h du matin pour limiter la consommation énergétique, soit une
réduction de 20% de consommation. Concrètement, sur une flotte de 1000 écrans,
en passant de 24h de fonctionnement quotidien à 16h d'ouverture et 8h de
fermeture, cela représente une économie annuelle de 524 000 kWh.
Cenareo va plus loin en intégrant au sein
de ses solutions des fonctionnalités d’économies de consommation d’énergie sur
les 25 000 écrans qu’elle pilote : cela permet aux utilisateurs de définir des
plages d’allumage et d’extinction pour chaque écran, en fonction des horaires
d’ouverture du magasin ou des bureaux et de piloter à distance l’ensemble de
leur parc, garantissant ainsi une consommation optimisée. Parce qu'il n'y a pas
de petits impacts, la solution intègre également une fonctionnalité permettant
de définir des horaires d'ouverture ou de fermeture exceptionnelles pour éviter
de se retrouver avec un écran allumé un jour férié par exemple.
• Idée reçue n°3 : Les écrans doivent être renouvelés souvent et
génèrent beaucoup de déchets
Aujourd’hui, les écrans
numériques bénéficient de technologies de pointe et de processus de fabrication
rigoureux qui optimisent leur cycle de vie et la résilience des matériaux. En
outre, des circuits de reconditionnement, à l’œuvre dans toutes les filières de
matériel électronique, permettent d'éviter des renouvellements trop fréquents.
Certains écrans utilisent jusqu’à 85% de plastique recyclé dans leur
fabrication. En limitant le temps
d’utilisation quotidien, l’usure des écrans est également réduite, allongeant
ainsi leur durée de vie. Par exemple, pour une flotte de 1000 écrans et une
durée de vie de
40 000 heures, passer de 24h à 16h d'utilisation prolonge la
durée de vie de 4,5 ans à 6,8 ans. En outre, un entretien régulier couplé à une
maintenance logicielle et opérationnelle régulière permet de rallonger
significativement la durée de vie des équipements.
Le plus de Cenareo : En plus des choix
optimisés d’écrans, Cenareo reconditionne en France (près de Toulouse) jusqu’à
40% de ses players pour leur assurer une seconde vie. Dans ce cadre et depuis
2022, Cenareo s'associe avec l’ORDISOL (Organisme de Réemploi des Déchets Informatiques
et Solutions Solidaires). En mettant à disposition ces équipements, l’objectif
est d’encourager le réemploi et de garantir qu'en fin de vie, ces matériels
soient dirigés vers des centres de valorisation.
• Idée reçue n°4 :
l’affichage dynamique est plus polluant que le papier
Dans le dilemme entre
papier et numérique, si le numérique doit poursuivre ses efforts d’optimisation
du sourcing des matériaux des écrans, leur recyclabilité et leur consommation
électrique, leurs pendants numériques offrent par ailleurs des avantages intéressants
sur la version papier. Ils permettent un renouvellement des contenus,
pilotables à distance en réduisant la production de papier, d’impressions et de
déchets associés. Avec une gestion centralisée des contenus, une seule
installation d'écran peut remplacer des milliers d’affiches imprimées, évitant
ainsi des émissions de CO2 liées à la production et à la distribution de
supports papier.
À titre de comparaison, une affiche taille A1
nécessite environ 0,5 kg de papier (avec des fibres recyclées à 50 %) et 100 ml
d’encre. Pour une campagne de 1 000 affiches, cela équivaut à 500 kg de papier
(soit environ 10 arbres) et 100 litres d’encre, contenant des composés chimiques
polluants. De son côté, en affichage dynamique, la production d’un écran LED de
55 pouces nécessite environ 250 kg de ressources (métaux, plastiques et
composants électroniques). Un écran peut remplacer des milliers d’affiches
pendant 5 à 10 ans, réduisant ainsi la consommation répétée de papier et
d’encre. Sur 5 ans, un écran équivaut à l’économie de 50 à 100 arbres, selon la
fréquence des campagnes papier remplacées.
• Idée reçue n°5 : Les
écrans ont un impact élevé sur les GES.
D’après une mission
commanditée par le Sénat en 2020, seules 2% des émissions de gaz à effet de
serre en France sont à attribuer au numérique, dont le DOOH n’est qu’une toute
petite fraction. Malgré tout, ceci est relativisé par ce complément de l’ADEME,
en termes d’émissions de gaz à effet de serre, l’utilisation d’un écran pendant
un an est comparable à un vol aller simple entre Paris et San Francisco,
soulignant l'importance d'une gestion énergétique responsable.
Le plus Cenareo : En collaboration avec
le Club du Digital Media, Cenareo a créé en 2019 une commission
Eco-Responsabilité, contribuant à la mise en place de groupes de travail sur
l'impact de cette industrie sur l'environnement. Cela a permis de développer un
Calculateur Carbone pour mesurer précisément l'empreinte CO₂
de chaque projet et fournir des conseils aux membres pour diminuer leurs
émissions. En complément, Cenareo soutient le projet Mana, qui vise à compenser
les émissions de
CO₂ par la plantation de Paulownias.
Engagée avec des
acteurs responsables comme Microsoft (data centers alimentés en énergie
renouvelable à 60%), Dynascan (écrans haute luminosité sans ventilateur) et
Philips, Cenareo collabore avec des fournisseurs et intégrateurs investis dans
une démarche de développement durable pour garantir un affichage dynamique plus
respectueux de l'environnement. Cenareo s’engage à être un acteur responsable
de la signalétique digitale, en mettant au cœur de son modèle des solutions
durables, économes en énergie et sécurisées. Cenareo croit en un affichage
digital respectueux de l'environnement, adapté aux besoins des entreprises
modernes, tout en réduisant l'impact écologique et en garantissant une sécurité
totale.
« L’affichage dynamique peut et doit être un levier d’innovation durable. Chez Cenareo, notre mission est claire : montrer chaque jour que technologie et responsabilité peuvent aller de pair, en rendant l’affichage plus respectueux, plus intelligent et plus durable pour accompagner nos clients dans leur transition écologique », conclut David Keribin, CEO de Cenareo.