Une coopération qui vise à renforcer les capacités de détection de fraude documentaire de l’assureur et identifier plus facilement les potentielles fraudes.
Fausses
identités, faux arrêts maladies, faux documents médicaux… Confrontée lors de
l’analyse de dossiers à de nombreuses formes de falsifications, MetLife, spécialiste
de la prévoyance et leader sur l'assurance emprunteur individuelle, intègre la
solution de Finovox pour l’accompagner dans la détection de documents
falsifiés.
Dans ce
cadre, la start-up joue un rôle crucial et permet d’analyser en instantané
l’intégralité des fichiers numériques (pièces d’identité, factures,
justificatifs…) afin d’identifier les potentielles falsifications. En cas de
fraude avérée, le logiciel fournit des informations complémentaires telles que
la date de modification, l’identification de l’élément modifié, la méthode
utilisée ou encore la reconstruction de l’information originale.
« Chez
MetLife, nous avons souhaité lancer une digitalisation globale de nos
processus. Dans ce cadre, Finovox joue aujourd’hui un rôle crucial dans la
facilitation de l’analyse et de la détection des dossiers frauduleux au sein de
notre service. La présence de clients frauduleux pèse sur les indemnisations,
ce qui nous amène à augmenter de façon significative la prime pour tous les
assurés. C’est pourquoi la solution développée par Finovox nous permet de
contrer et d’anticiper main dans la main les tentatives de fraude et ainsi de
servir nos clients au plus juste prix », déclare Pekko Thai, directeur des
opérations chez MetLife
« Chaque année, la fraude documentaire entraîne des pertes de plusieurs millions d’euros. Les conséquences qui en découlent peuvent être sévères, tant pour les assureurs que pour les assurés. Combattre cette fraude nous conduit vers un système d’assurance plus équitable et plus stable, où les économies réalisées sur la fraude permettent de proposer des tarifs plus compétitifs. C’est pourquoi chez Finovox, nous sommes heureux de collaborer avec MetLife pour unir nos efforts et mettre fin à ce fléau ensemble », conclut Marc de Beaucorps, CEO de Finovox.