L’entreprise publie les résultats de son étude réalisée avec l’institut Becoming sur les Français et le ménage responsable. Des résultats encourageants pour l’avenir avec une jeune génération davantage sensible aux questions sociales et environnementales dans leurs pratiques quotidiennes.
Alors que les Français
semblent de plus en plus conscients et soucieux de l’impact écologique et
social de leurs pratiques et qu’ils sont de plus en plus nombreux à se tourner
vers des modes de consommation raisonnés et éthiques, dans l’alimentation ou
encore la mode, La Compagnie des Lavandières s’est intéressée à la question de la
consommation dans le ménage.
- Les Français sont-ils
sensibles aux conditions de travail des intervenants à domicile ?
- Comment mieux
consommer quand on emploie un assistant ménager ?
Principaux enseignements.
Le ménage : plaisir ou
corvée ?
● Dès le
départ, l’étude a posé la question suivante : vous, à titre personnel, aimez-vous
faire le ménage ? Et la réponse n’a pas fini de nous étonner : 1 Français sur 2
aime faire le ménage (54%) et même
1 Français sur 10 l’adore (12%)
!
● A
l’inverse, ils sont aussi nombreux (12%) à considérer
qu’il s’agit d’une vraie corvée.
Les Français sensibles
aux conditions de travail des assistants ménagers et aux produits ménagers
respectueux de l’environnement
●
Indicateur positif : 79%
des répondants pensent qu’il est important de soutenir les entreprises
de ménage à domicile qui respectent leurs employés et l’environnement, même si
cela implique un coût plus élevé.
● Ils
sont même 1
sur 2 à se déclarer prêts à payer plus cher leur prestation
de ménage si l’entreprise s’engage à utiliser des produits respectueux de l’environnement
(52%) et également 1 sur 2 à être prêts à payer plus cher leur prestation
de ménage pour que les intervenants aient de meilleures conditions de travail (53%).
Les nouvelles
générations davantage attentives aux conditions de travail
● Voilà
qui est bon signe, les jeunes sont plus sensibles que la moyenne aux conditions
de travail des intervenants à domicile : chez les moins de 35 ans, ils sont 64% à se dire prêts à payer plus cher leur prestation de ménage pour que
les employés de maison aient de meilleures conditions de travail.
Consommer responsable, un état d’esprit
● On remarque dans l’étude une tendance
assez marquée chez les consommateurs de produits alimentaires locaux,
respectueux de l’environnement et du revenu des agriculteurs : ceux-ci sont
davantage prêts à payer plus cher pour des services de ménage respectueux de
l’environnement (73%) et respectueux des conditions de travail (67%).
La Compagnie des Lavandières : un
modèle d’organisation inédit dans le secteur de l’entretien à domicile
Alors que les services à la
personne sont souvent associés à des images de précarité, de temps partiel, de
petits jobs mal payés… le groupe Oui Care a pris le contrepied de ces clichés
en créant en 2020 La Compagnie des Lavandières. L’entreprise fait le choix d’un
positionnement “libérant” et propose ainsi des CDI temps plein, fournit une
voiture de service à ses salariés, les rémunère au-dessus de la moyenne du
secteur et organise leur travail en petites équipes autonomes. Faire appel à un
“Lavandier” pour l’entretien de la maison, c’est soutenir l'économie locale et
participer à la création d'un emploi de qualité, durable et non délocalisable.
Bref, c’est consommer du ménage responsable.
Le concept d’entreprise libérante
ou libérée a été popularisé par Isaac Getz dans les années 2000, pour autant il
n’est connu que par 29% des répondants.
Lionel Strasbach, directeur de La Compagnie des Lavandières, commente : « Je me réjouis de constater que bien que le concept de management libérant soit peu connu des Français, une fois informés, 8 sur 10 considèrent comme important de soutenir une société qui place le ménage responsable au cœur de son modèle économique. Dès notre création, nous avons fait le choix d'un management atypique pour le secteur pour que, en gérant eux-mêmes activité et planning, les Lavandières et Lavandiers gagnent en responsabilité, proximité, épanouissement, qualité de travail et donc qualité de vie. Cette étude nous confirme que notre modèle a de l'avenir. »