Depuis le début de l'année, le marché immobilier parisien et francilien est bloqué : les biens en vente restent de plus en plus longtemps sur le marché et peinent à trouver un acheteur.
Pour autant, la situation française ne ressemble en rien ni à une bulle financière, ni à une bulle de logements neufs : les banques françaises sont aujourd'hui extrêmement prudentes et ne financent que des ménages solvables selon des critères très stricts ; la construction de logements neufs est elle aussi très prudente et limitée par la rareté du foncier à Paris et en Ile-de-France.
Zoom sur Le baromètre d’octobre 2012 :
- Volumes de transaction au plus bas.
- Diminution du nombre de biens réels à vendre à -30% sur un an.
- Acheteurs potentiels moins nombreux à -40% sur un an.
- Cycle achat-revente quasiment interrompu.
- Allongement des délais de commercialisation (2 fois plus longs qu'il y a un an).
- S’ils ne d’effondrent pas, les prix baissent progressivement.
- Baisses de -0,3% des ventes signées à Paris et en Grande Couronne et de -0,2% en Petite Couronne.
c.petit@dakota.fr