Après d’excellentes performances en 2012, Financière de l’Echiquier dévoile sa stratégie d’investissement pour 2013. Recherche du rendement, appétit pour le risque, grand retour des actions européennes et croissance de la consommation mondiale seront les mots d’ordre pour toute l’équipe de gestion collective de Marc Craquelin, sous l’égide de Didier le Menestrel, Président de Financière de l’Echiquier et de Stéphane Toullieux, son Directeur général.
Points clés : en 2013, il n’y aura pas de rendement sans risque
- En 2012, toutes les classes d’actifs, sans distinction, ont généré des profits. En 2013, la rémunération des placements monétaires et des emprunts d’Etat ne couvrira pas l’inflation. Il est donc temps de réallouer vers des solutions plus rémunératrices.
- Le redressement est en cours aux USA et en Chine, l’Europe présente des signaux encourageants et de nouvelles options comme l’Afrique sont à considérer.
- La compression des « spreads » des obligations d’entreprises invite à pratiquer une sélection vigilante, orientée vers les obligations à haut rendement (« high yield »).
- Les actions présentent dans l’ensemble des bilans solides et génèrent du cash qui sera rendu à l’actionnaire. Les actions européennes présentent de surcroît une opportunité de valorisation.
Obligations vs actions : « Le moment de passer le relais »
- 2012 a été une année de rendements exceptionnels pour les investissements obligataires.
- En 2013, l’anticipation d’une éventuelle hausse des taux des emprunts gouvernementaux et le mouvement déjà très engagé de compression des « spreads » pour les meilleures signatures rendent l’exercice plus difficile. Les obligations devront faire l’objet d’une sélection vigilante orientée vers le « high yield ».
- En parallèle, plus de 50% des sociétés qui émettent de la dette en Europe favorisent l’actionnaire plus que le créancier. Solidité des bilans, génération de cash et rendement des entreprises incitent à aller capter la performance boursière sur les marchés des actions, notamment européens.
La stratégie de Financière de l’Echiquier
- plus de liberté pour les fonds obligataires : augmentation de la part en « high yield »
- plus d’exposition aux actions pour les fonds diversifiés : réduction de la poche obligataire
- plus d’Europe dans les fonds / poches actions : 2013 est l’année des actions européennes
Gestion internationale: « Le monde est en croissance »
- La croissance de la consommation mondiale continue d’orienter les choix d’investissement de Financière de l’Echiquier.
- Les économies matures se sont stabilisées en 2012, une année caractérisée par moins de volatilité et plus de performance. La dynamique structurelle américaine est de bon augure malgré des indicateurs encore complexes. En Europe, le couple rendement / risque est attractif et favorise deux thèmes d’investissement : l’exportation du savoir-faire européen et les entreprises bénéficiant d’un changement de statut.
- Certaines économies émergentes continuent d’offrir des opportunités majeures. La Chine, bien sûr, ou la croissance est relayée par la mise en place d'une politique d'avenir et l’augmentation de la consommation intérieure. Mais aussi l’Afrique, qui va croître de 6% en moyenne sur les années à venir. Financière de l’Echiquier se positionne sur les secteurs de la consommation, de l’équipement, des infrastructures et de la logistique.
La stratégie de Financière de l’Echiquier
- demeurer exposés aux USA et privilégier les belles valeurs de croissance.
- continuer à aller chercher la croissance émergente – en Chine, mais aussi en Afrique.
- se maintenir avec conviction sur l’Europe et profiter des opportunités de valorisation.