En 2012, en dépit d’une très mauvaise année qui a vu une baisse de plus de 20% du nombre de ventes, les IOBSP (Intermédiaires en Opération de Banques et Service de Paiement) ont distribués 40 Mds€ sur les 130 Mds€ de crédits à l’habitat.
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Désormais plus de 30% des crédits immobiliers sont intermédiés par des professionnels du financement. La loi de régulation bancaire entrée en vigueur en janvier devrait également booster activité à l’instar de l’Angleterre et l’Espagne où la distribution du crédit est assurée à 60 et 50% par des courtiers. En France, aujourd’hui, près de 40% des emprunteurs potentiels sollicitent un courtier avant de concrétiser une offre de prêt. La part de marché du courtage progresse très régulièrement de près de 11% par an. Cette part est gagnée sur les banques qui n’assurent désormais que 70% de la distribution directe des crédits à l’habitat Selon les grands instituts économiques d’études tels Xerfi ou Ihs Global Insight la part de marché des courtiers dans la distribution du crédit à l’habitat devrait atteindre 50% dans les 5 ans. Cette appétence pour l’activité du courtage de crédits est parfaitement illustrée par l’intérêt soudain que portent 5 investisseurs européens au rachat de Meilleurtaux à BPCE. « Notre volonté est de répondre à la demande de nos clients emprunteurs, en proximité, partout en France et pas seulement dans les métropoles régionales. Chez In&Fi nous avons identifiés plus de 600 villes où la présence d’un courtier In&Fi Crédits sera utile, » précise Pascal Beuvelet Président d’In&Fi Crédits Dans un environnement économique difficile le courtage de crédits semble se dessiner un bel avenir.
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