Le vieillissement de la population et l’entrée de plus en plus tardive dans le monde du travail provoquent une transmission financière entre générations de moins en moins efficace au niveau de la société française.
Depuis la crise du Covid 19, l’utilisation de solutions numériques est devenue la norme dans de très nombreux secteurs de l’économie : fonction publique, courses, livraison de repas et bien sûr dans le secteur financier.
L’âge moyen de l’héritage est aujourd’hui supérieur à 50 ans. Un âge où souvent les enfants ont quitté le foyer. On assiste à une nouvelle forme de transmission, celle entre les grands-parents et les petits-enfants, qui saute donc une génération.
Comment aider les jeunes adultes vers 18-25 ans, un âge où l’on a besoin d'argent, mais souvent pas de revenus ?
Un moyen simple qui consiste à utiliser le mécanisme de la donation qui permet tous les 15 ans à chaque parent de transmettre 100 000€ à chaque enfant ou 31 865€ entre un grand-parent et un petit-enfant, et cela, sans imposition fiscale.
Un moyen plus élaboré consiste à effectuer cette donation dans le cadre de l’ouverture d’un contrat d’assurance-vie avec le mineur comme souscripteur. Dans ce cas, le mineur n’est pas bénéficiaire, mais bien propriétaire du montant versé dans le contrat. Il est même possible, dans le cadre d’un pacte adjoint, de faire signer une clause d’inaliénabilité qui permet de bloquer l’argent pour que le mineur ne puisse utiliser l’argent qu’à partir de l’âge que vous choisirez entre 18 ans et 25 ans.
« Nous considérons chez Zalpha que cela correspond à un besoin sociétal » déclare Pierre Hervé, Directeur Général de Zalpha et Jérôme Glodas Président d’ajouter : « notre objectif est d’ailleurs de permettre à toutes les générations de donner un sens à leur épargne. »