Les professionnels de l’immobilier, qu’ils soient agents immobiliers, syndics ou administrateurs de biens, ont leur nouvel emblème : VESTA. Sur le fronton des agences, ou en version digitalisée, la commercialisation auprès de l’ensemble de la profession est lancée, afin de clarifier les aptitudes des différents acteurs de l'immobilier et protéger au mieux les consommateurs.
VESTA, l’affirmation de l’identité d’une profession réglementée
La loi Elan du 23 novembre 2018 a reconnu et protégé les dénominations d’agents immobiliers, administrateurs de biens et syndics, professions réglementées par la loi HOGUET, assorties d’obligations protégeant le consommateur.
En créant VESTA, la FNAIM a souhaité permettre aux professionnels de l’immobilier d’afficher le caractère réglementé de leur profession. Pour le consommateur, VESTA atteste de l’aptitude, du professionnalisme et de la probité des agents immobiliers, administrateurs de biens et syndics.
Cette sécurité juridique et visuelle assure des garanties de compétence, de formation, de solidité financière et d’assurance aux particuliers, délivrées par les professionnels réglementés. Parce que, comme le dit l’accroche de l’emblème, « Dans l'immobilier, il y a des signes qui ne trompent pas ».
VESTA, à la disposition de toute une profession sur Fnaim.fr
Chaque détenteur d’une carte professionnelle de l’immobilier pourra désormais utiliser l’emblème VESTA et ses visuels, dans le respect de la licence d’utilisation des marques.
Au-delà de la possibilité de commander un insigne, tout professionnel pourra ainsi télécharger l’ensemble des logos – en fonction des mentions figurant sur sa carte professionnelle – pour l’utiliser sur son site internet, sa carte de visite, ses papiers à en-tête, etc.
« Attendu par toute une profession, soutenu par l’écosystème entier – réseaux, groupes, syndicats, le nouvel emblème VESTA est un outil majeur pour clarifier les aptitudes des différents acteurs de l'immobilier et protéger au mieux les consommateurs. J’appelle l’ensemble des professionnels à s’en saisir. », déclare Jean-Marc Torrollion, Président de la FNAIM.