La plateforme juridique SeedLegals, implantée au Royaume-Uni, en France, en Irlande, à Singapour et à Hong-Kong, a franchi une étape décisive dans sa croissance puisque la Legaltech a dépassé le milliard d’euros d'investissements dans les startups.
Une réussite en matière de financement grâce à la confiance acquise de la part de clients influents et innovants sur leur marché tels que Qured, Oddbox, Thursday au Royaume-Uni, et, en France, Sunday App, Phenix, Ride Motto, ou encore Spendesk, l’une des récentes licornes françaises, qui ont toutes su tirer profit de l’offre SeedLegals afin d’accélérer leur croissance.
C’est grâce à ces milliers tours de financement que SeedLegals a identifié diverses tendances dans l'écosystème des startups en 2021. Parmi elles :
- Les entreprises axées sur l'amélioration du partage d’information et de la communication ont levé 5 fois plus de fonds que le deuxième secteur le plus rémunérateur (le commerce de détail) ;
- Dans les startups qui ont levé des fonds, près de 28 % ont au moins une fondatrice et 12 % sont dirigées par une équipe entièrement féminine ;
- L'âge moyen des fondateurs dans les domaines les plus attractifs aux investissements diffère selon le secteur. Dans l'ensemble, l'âge moyen des femmes est de 45 ans, quand celui des hommes est de 38 ans.
Depuis sa création en 2016, SeedLegals a travaillé avec plus de 35 000 entreprises et investisseurs afin de transformer la manière dont ils se lancent, se développent et passent en hypercroissance.
Cofondée par le serial entrepreneur Anthony Rose et l’un des tous premiers VC en Europe, Laurent Laffy, SeedLegals automatise l’ensemble des opérations juridiques dont les startups ont besoin, du financement au partage du capital (BSPCE, BSA etc.), en passant par les contrats et la gestion de leurs actionnaires.
La société emploie plus de 150 personnes, réparties entre l’Europe et l’Asie, ce qui présage d’un réel avenir et de nouvelles opportunités pour les opérations juridiques, sans contraintes de frontières.
Après un tel succès et l’étape symbolique du milliard d’euros investi via SeedLegals, le cofondateur Anthony Rose a déclaré que : « Lorsque nous avons lancé SeedLegals, notre objectif était d'aider les entreprises à réaliser un tour de table de manière plus rapide et plus fiable. Mais maintenant, nous plaisantons en disant que notre objectif est d'aider les entreprises à ne pas faire de tour de financement. Au lieu d’un cycle classique de se financer tous les 12 à 18 mois, nous transformons la manière dont les startups lèvent des fonds et proposons aujourd’hui la possibilité de se financer à n’importe quel moment via un financement agile. Désormais, les utilisateurs de SeedLegals lèvent autant de fonds avant et après un tour de financement, se développent plus rapidement, ont une meilleure maitrise de leur capital et lèvent des fonds en fonction de leurs besoins réels ».