AssurOne intègre ses collaborateurs à une vaste réflexion sur la diversité et l’inclusion
AssurOne, avec le concours de l’organisme indépendant Gloria, a interrogé ses managers et ses collaborateurs sur la diversité et l’inclusion dans l’entreprise*. A travers des indicateurs chiffrés, cette enquête permet à AssurOne de disposer d’une parfaite connaissance des attentes et ressenti de tous. Une démarche collaborative qui s’accompagne d’actions de sensibilisation régulières pour une meilleure qualité de vie au travail.
Une consultation participative dont l’objectif est d’améliorer la qualité et les conditions de vie au travail
Grâce à un double questionnaire RH destiné à l’équipe concernée et un baromètre salariés orchestré par Gloria, tous les collaborateurs ont pu s’exprimer sur le sujet de la diversité et de l’inclusion.
Des différences de perception selon l’âge et selon le sexe (davantage marquées lorsqu’on aborde le sexisme) ont pu apparaître.
Cette double consultation sera désormais réitérée chaque année afin de suivre la tendance de près et répondre au mieux à un sujet ancré dans la réalité quotidienne de tous les salariés.
En parallèle, AssurOne met en place des chantiers de construction, et des conférences avec les salariés.
Marie Plazenet, Responsable des Ressources Humaines déclare : « La diversité est un sujet qui nous tient à cœur qui s’inscrit logiquement dans le projet de l’entreprise.
Avec cette consultation des salariés, nous fixons les fondements d’une démarche pérenne qui va s’étaler sur plusieurs années.
Notre démarche est collaborative et repose sur une volonté de susciter l’adhésion du plus grand nombre. D’où la mise en place d’actions de sensibilisation à différents sujets qui ont en commun d’être déclinés sur le volet social. »
Alexia Lefeuvre, Directrice Communication et RSE précise : « 2022 s’impose comme l’année de la RSE chez AssurOne. Notre engagement est aussi de relier le sujet important de la diversité et de l’inclusion à la RSE.
Alors que beaucoup d’entreprises lancent leur démarche RSE sans forcément bien l’expliquer, nous voulons apporter à nos collaborateurs un socle de connaissance dont cette démarche de sensibilisation fait partie. L’engagement de notre entreprise nécessitait une incarnation du sujet. D’où notre démarche de confier la mission à Maeva Mellin, également Responsable Communication, d’être notre référente et spécialiste de toutes les questions liées à la Qualité de Vie au Travail. »
Alexia poursuit : « La RSE c’est aussi le respect, les notions d’acceptation qui garantissent le bien vivre ensemble, avec les différences de chacun. D’où la constitution de notre comité RSE qui se compose de salariés à tous les postes de l’entreprise pour représenter le maximum de personnes. Signe de l’intérêt de nos collaborateurs, les souscriptions aux ateliers de co-construction consacrés à ce sujet sont de plus en plus nombreuses. »
Le fait religieux sera prochainement abordé, là aussi avec le soutien de Gloria. Engager ce type de discussion avec les équipes permet de lever des incohérences qui peuvent peser sur l’ambiance au travail.
Dès 2023, AssurOne mettra chaque année la lumière sur une thématique qui deviendra sa thématique phare.
Maeva Mellin, Responsable communication et de la Qualité de Vie au Travail, conclut : « La Qualité de Vie au Travail doit être pleinement intégrée à la démarche RSE. D’ailleurs, elle en est une illustration. Et l’aspect participatif nous permettra d’être au plus proche des attentes de chacun, d’être ancré dans le quotidien des gens. C’est cette implication qui fait que les résultats obtenus seront plus forts. »
Le questionnaire dédié à l’équipe RH pour consolider les fondements
Un questionnaire dédié à l’équipe RH a été créé afin de faire un point sur :
- La conformité à certaines obligations légales liées à la diversité et l’inclusion.
- Les indicateurs chiffrés qui permettent de mesurer la mixité, l’égalité, la diversité, et établir les sujets à travailler en priorité.
- Les pratiques et la politique d’entreprise, de manière à recenser les actions mises en place en faveur de la diversité et de l’inclusion sur les sujets de parentalité, d’équilibre des temps de vie, de rémunération, d’évolution de carrière et de recrutement.
Inclusion, mesures de sanction, égalité de traitement, diversité des profils, liberté d’expression : Les points les mieux notés par les collaborateurs
Sur la base d’un système de notations qui va de 1 à 5, les salariés se sont montrés particulièrement positifs sur les aspects liés :
- Au sentiment d’inclusion et de respect dans l’entreprise (4,1/5) et à la certitude de réussir dans l’entreprise en restant soi-même (4,1/5).
- La confiance en la capacité de l’entreprise de prendre des mesures de sanction en cas d’incidents discriminatoires (4,1/5).
- Une exacte égalité de traitement pour tous, peu importe les différences affichées de chacun (4/5).
- Une diversité des profils bien présente dans l’entreprise (4/5).
- La liberté d’expression liée au sentiment de pouvoir faire part à n’importe qui dans l’entreprise de leurs origines sociales, convictions religieuses ou orientation sexuelle. (4/5).
A l’inverse : de moins bonnes notations sur l’équité des salaires, les promotions, l’évaluation des performances et des situations de discrimination parfois observées
La perception des salariés est moins bonne sur les aspects liés à :
- L’équité des salaires (3/5).
- La juste attribution des promotions (3,1/5).
- La juste évaluation de la performance au travail (3,5/5).
- Une absence de tolérance sur les blagues sexistes, douteuses ou homophobes (3,6/5).
- Un engagement de l’entreprise qui n’est pas total pour ce qui est de l’inclusion et de la diversité (3,6/5).
- Le constat de discrimination dans l’entreprise selon 16,4% des personnes interrogées et de sexisme d’après 14,9% d’entre elles.
17% des répondantes affirment avoir été témoin d’attitudes sexistes, vs 10,5% pour les hommes. Et si 5% des femmes déclarent en avoir été victimes, aucun homme ne fait ce constat.
Sur une échelle de 1 à 5, lorsqu’on aborde la question de l’égalité de traitement, la différence de perception est moindre. A la question d’un traitement égal selon l’origine culturelle ou sociale, la religion, ou l’orientation sexuelle, on obtient un score de 3,95 chez les femmes, vs 3,2 chez les hommes.