- En Indonésie, deux jeunes balinaises ont donné naissance au mouvement mondial Bye Bye Plastic.
- En Australie, Kanyirninpa Jukurrpa (KJ), une organisation Martu s’inspire d’une pratique ancestrale pour assurer la préservation de la biodiversité et a rétabli le régime de feu pujiman dans le Grand désert de sable.
- Plus près de nous en France, un groupe d’élèves ingénieurs de l’association West Association for Vessels of ESTACA (WAVE) a imaginé une technologie inspirée par la nature pour lutter contre la pollution des océans et nettoyer les ports, et a conçu Green Turtle, un robot-tortue traqueur de déchets plastiques.
Dénominateur commun de ces 3 initiatives : ce sont des projets citoyens concrets portés par de simples individus – femmes, hommes, jeunes adultes et enfants - qui, partout sur la planète, s’engagent que ce soit en matière de biodiversité, d’éducation au développement durable, d’hydrologie, de préservation des océans ou des savoirs locaux et autochtones.
Et ce sont 3 des 109 projets - venus de 56 pays - qui sont aujourd’hui présents sur la plateforme UNESCO Green Citizens, lancée il y a un an.
Né du constat que l’implication de tout citoyen et l’engagement de chacun à sa mesure et selon ses moyens créent les conditions pour faire aboutir les projets, UNESCO Green Citizens permet de faire émerger des initiatives locales repérées grâce à l’UNESCO et ses partenaires, aux 4 coins de la planète. La plateforme leur offre une visibilité inégalée et permet à tout un chacun de se porter volontaire dans son domaine de compétences pour aider un groupe de citoyens ailleurs dans le monde.
Cette fonction de rencontre et de facilitateur de collaboration de citoyens à citoyens est unique aujourd’hui. Et à ce jour, plus de 240 offres de soutien ont été apportés via la plateforme à des porteurs de projets