Au-delà des mesures de prévention individuelles et des recommandations largement diffusées (se laver les mains régulièrement, éternuer dans le creux de son coude, utiliser des mouchoirs jetables, limiter les contacts physiques…), une désinfection régulière des surfaces de contact potentiellement contaminées permet de contribuer à la réduction du risque de transmission du virus.
Ce principe de précaution s’applique autant aux espaces recevant du public qu’aux parties communes des immeubles d’habitation.
Dans un immeuble d’habitation, on doit traiter de façon différenciée un hall d’entrée, des cages d’escalier, ou des couloirs, en utilisant un matériel adapté. Pour Tech-Way, filiale du groupe Foncia, experte technique de l’habitat, l’efficacité des solutions de désinfection repose également sur 3 facteurs essentiels :
- La qualité du personnel d’intervention : Faire appel à un personnel qualifié, habitué au respect de modes opératoires précis et à l’utilisation de biocides, c’est l’assurance du respect des protocoles convenus. Les interventions doivent donc être assurées par des techniciens qualifiés et détenteurs d’un certificat professionnel d’utilisation des biocides.
- La qualité du matériel technique utilisé : Fini les lingettes ! C’est l’utilisation de pulvérisateurs pour traiter des surfaces locales (rampes d’escalier, portes, poignées) ou de brumisateurs électriques pour des périmètres larges, comme un hall d’entrée d’immeuble, qui permet d’augmenter le pouvoir couvrant des produits utilisés et ainsi de réduire le risque de zones non traitées.
- La qualité des produits virucides utilisés : Il est possible aujourd’hui d’utiliser des produits très efficaces, sans prendre de risque pour l’environnement. C’est le cas de désinfectants virucides / bactéricides homologués dans des environnements sensibles tels que les hôpitaux, les crèches ou les maisons de retraite.
« Aujourd’hui, on ne peut plus se contenter de lingettes pour désinfecter des surfaces à risques ou contaminées. L’efficacité passe par la technologie, comme l’utilisation de nébulisateurs ou brumisateurs électriques, 15 microns1, et de pulvérisateurs, 100 microns, pour réduire les risques de zones non traitées », rappelle Christophe Dupont, directeur général de Tech-Way.