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Entreprises familiales et ouverture du capital

France Invest (Association des Investisseurs pour la Croissance) lance une campagne pour sensibiliser les dirigeants d’entreprises familiales au bénéfice d’ouvrir leur capital à des fonds d’investissement.

Dans une série de vidéos intitulées « Entreprises familiales, questions de fonds », des dirigeants de PME et d’ETI familiales, qui ont ouvert leur capital à des fonds, témoignent des a priori qu’ils avaient et de la réalité positive de leur expérience.


Un nombre croissant d’entreprises financées par le capital-investissement français

En France, en 2018, plus de 2 200 entreprises ont fait entrer à leur capital des actionnaires financiers, membres de France Invest. Ce chiffre est en progression constante depuis 3 ans (+34% par rapport à la moyenne annuelle 2006-2017). La tendance se confirme au 1er semestre 2019 avec près de 1 200 entreprises qui ont ouvert leur capital. En moyenne, 3 sur 5 sont des PME, 4 sur 5 sont françaises et 1 sur 2 ouvre son capital pour la première fois.


Mais trop peu d’entreprises familiales

« Alors qu’un nombre croissant d’entreprises fait appel au capital-investissement, beaucoup d’entreprises familiales, terreau de l’entrepreneuriat français, restent en marge de cette opportunité. Les témoignages de ceux qui ont franchi le pas apportent un nouvel éclairage à ceux qui méconnaissent ou hésitent à faire appel à des actionnaires financiers, accélérateurs de la croissance des PME », souligne Dominique Gaillard, Président de France Invest.


Ouvrir son capital : les craintes, les raisons, la réalité

Ainsi, des entrepreneurs familiaux, actionnaires majoritaires de leur entreprise, qui ont ouvert leur capital à des acteurs du capital-investissement font part de l’image a priori qu’ils en avaient. Ils expriment leurs craintes initiales sur la perte de contrôle du pilotage de leur entreprise, sur le risque de dilution de la culture familiale, sur la contrainte supposée et imposée d’un niveau d’endettement élevé, sur le reporting financier, sur l’incertitude quant aux conditions de sortie des fonds, …

Ils expliquent les raisons pour lesquelles ils ont finalement ouvert leur capital, qu’il s’agisse d’accélérer leur croissance, d’investir dans l’outil de production, de se développer à l’international, d’avoir le courage de se lancer dans des acquisitions et – éventuellement - de redevenir une entreprise totalement familiale, …

Ils commentent la réalité de la relation au quotidien avec leurs actionnaires financiers, tout ce qu’ils leur apportent en plus des capitaux, et de la manière dont se passent les échanges.


La diversité du tissu de PME dans les régions de France

Les dirigeants de ces entreprises familiales témoins sont implantés dans diverses régions de France, que, par leur forte croissance, ils contribuent à faire rayonner : Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne, Hauts-de-France, Ile-de-France, PACA et Pays de Loire.

Ces dirigeants interviennent dans des secteurs d’activité variés de l’industrie, de la distribution, de l’agro-alimentaire, de la logistique, du loisir, des services à la personne et aux entreprises, de l’éducation, … représentatifs de la diversité du tissu des PME et ETI françaises.

« Entreprises familiales, question de fonds » : 11 témoignages courts, de 2 minutes 30, sont le reflet d’un capitalisme entrepreneurial qui préserve la dimension familiale des entreprises.

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