actions, obligations, gestion d'actifs, fonds
Analyse de Howard Cunningham, gérant de portefeuille chez Newton IM (BNY Mellon IM)
Jusqu'à présent, les investisseurs en « gilts » (obligations d'État britanniques) ont profité de l'histoire sans fin du Brexit, les obligations d'État à plus de 15 ans ayant rapporté plus de 22% au cours de l'année jusqu'au 30 septembre. Et ce malgré le fait que l'optimisme récent autour d'un éventuel accord entre le Royaume-Uni et l'UE ait entraîné une baisse des cours des « gilts » à la fin de la semaine...
Ce contenu est réservé aux abonnés. Procédez à votre inscription et choisissez votre formule d'abonnement
L'accès à ce contenu requiert un abonnement. Accédez à votre compte pour choisir la formule qui vous convient
Ce contenu n’est pas inclus dans votre abonnement. Bénéficiez de notre offre d'abonnement "tout Esteval" pour accéder à tous nos espaces éditoriaux !