S'appuyant sur un réseau de 20 agences régionales - dont 5 ouvertures en 2018 - et sur une équipe de 250 collaborateurs (+23%), le Groupe Quintésens, spécialiste de la gestion de patrimoine, est aujourd'hui un acteur incontournable du métier.
Fondé par Julien Joubert il y a 10 ans, le groupe ne compte pas s'arrêter là, au programme pour 2019 :
- le renforcement des activités (gestion immobilière et courtage en crédit),
- le développement en France et à l'international,
- les recrutements…
Objectif : faire croître le CA de 35%.
Des ventes au plus haut
Déjà cité en début d'année par le Financial Times au classement des 1 000 entreprises européennes en plus forte croissance, le Groupe Quintésens devrait voir son CA progresser de 40% en 2018, pour un volume d'affaires estimé autour de 400 M€. Des chiffres à mettre au crédit des consultants qui ont réalisé plus de 6 000 bilans patrimoniaux depuis le début de l'année et 2 000 ventes dont bon nombre liées au dispositif Pinel.
« Nos résultats sont la récompense du travail acharné de nos équipes. », insiste Julien Joubert. « Ils sont aussi la preuve que notre approche, basée sur l'écoute, la proximité et la confiance des clients, est la bonne ».
Vers une offre 360°
Le Groupe Quintésens a étoffé son offre pour répondre de façon pertinente aux besoins de nombreux clients investissant dans l'immobilier locatif au cours de cette année 2018 :
- Avec sa filiale Quiétis Gestion d'abord, il assure la gérance des biens que lui confient un nombre croissant de clients (+95%).
- Avec Privilège Courtage, autre filiale et société de courtage en prêt immobilier, il leur garantit les meilleurs taux et l'assurance de prêt adaptée. Après à peine 18 mois d'existence, cette dernière compte déjà 10 agences régionales et une cinquantaine de collaborateurs au service des clients Quintésens.
2019 promet en effet d'être animée pour le Groupe Quintésens.
Outre l'ambition de continuer à se développer en France et notamment en Ile-de-France, le fondateur ne cache pas ses ambitions d'internationalisation. Les capitales francophones et villes étrangères accueillant une importante communauté française seront vraisemblablement les premières concernées.*