Une enquête réalisée par Ernst & Young Real Estate, un des leaders mondiaux de l’audit et du conseil, de la fiscalité et du droit, des transactions, auprès de 43 investisseurs.
Extrait des principales observations pour 2013
- En baisse de 10% par rapport à 2012, seuls 67% des participants considèrent la France comme un pays attractif pour l’investissement immobilier, contre 98% pour l’Allemagne ou 91% pour le Royaume-Uni.
- Néanmoins le marché français des transactions immobilières est jugé solide par la majorité des acteurs du secteur. Une augmentation des transactions est anticipée en 2013 pour 67% des investisseurs.
- Les activités des investisseurs internationaux augmenteront par rapport au niveau de 2012 pour 77% des participants.
- L’incertitude relative à l’évolution des marchés financiers en 2013 pourrait bénéficier au secteur de l’immobilier français.
- Les prix devraient augmenter, en particulier pour les emplacements de premier ordre, ou rester stables, notamment pour les actifs hôteliers.
- Les principaux vendeurs devraient être les banques, les fonds ouverts et les fonds internationaux.
- Les principaux acheteurs devraient être les fonds de placement, les fonds souverains, les compagnies d’assurance et, de façon plus surprenante, les banques.
- La disponibilité limitée des dettes de premier rang constitue le principal obstacle à l’investissement ; en outre, l’application stricte des conditions et des délais de remboursement est considérée comme la mesure la plus probable pour gérer les dettes à risque.
- Les investisseurs vont continuer à se focaliser sur l’immobilier commercial et de bureaux ; la demande d’autres types de biens va considérablement décroître.
- Les régions les plus recherchées pour l’immobilier commercial et de bureaux sont Paris et les principales villes du Sud.