Alors que le parc résidentiel français compte 33,9 millions d’unités, 691 000 transactions ont été enregistrées en 2014. Soit un taux de rotation de 2,05%, un des plus bas niveaux depuis plusieurs années, excepté l’année 2009 à 1,85%, année exceptionnellement défavorable.
Comparé au taux de rotation des années d’avant crise (2001/2007), qui oscillait alors autour de 2,68%, ce ratio constaté en 2014 marque un repli de 23% et illustre une chute de liquidité du marché considérable. Au rythme de 2,05 logements vendus en une année pour 100 existants, un même logement fait l’objet d’une revente en moyenne tous les 49 ans (hors transmission par succession, donation ou partage).
Dans le prochain numéro de la revue l’Observateur de l’immobilier du Crédit Foncier (ODI n°90) à paraitre le 30 juin, une étude met en exergue cet indicateur jusqu’ici peu exploité.
Retrouvez l’ODI sur http://creditfoncier.com/
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